Recherche tout champRecherche avancéeNouvelle recherche Page d'accueil  

Tout champ :
   
Retour au tableau des résultats

7552 résultats trouvés

Précédent 1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2557 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4401 4451 4501 4551 4601 4651 4701 4751 4801 4851 4901 4951 5001 5051 5101 5151 5201 5251 5301 5351 5401 5451 5501 5551 5601 5651 5701 5751 5801 5851 5901 5951 6001 6051 6101 6151 6201 6251 6301 6351 6401 6451 6501 6551 6601 6651 6701 6751 6801 6851 6901 6951 7001 7051 7101 7151 7201 7251 7301 7351 7401 7451 7501 7551 7552 Suite droite

 
Titre :La Caserne parlementaire
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Gramet, Arthur
Interprète(s) :Lack, Paul [Léopold Postieau]
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :25 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Zonophone (Gramophone)
Numéro de catalogue :x81236II
Numéro de matrice :14960u
Date de l'enregistrement :1909-07-05
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :78
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :02-06-2010
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. La quinzaine parlementaire, satire politique. Il évoque le ministre de l'agriculture, et Henry Chéron qui contrôle les viandes : - est-ce que votre saucisse est avariée ? - Elle est raide celle-là Monsieur le ministre… Militaire
Texte du contenu :La caserne parlementaire

sur Aspir :

Ah ! vous parlez qu'on est heureux maintenant au régiment, ah ! on est heureux parce que le régiment est tout à fait moderne. C'est vrai, maintenant tout le monde est soldat, oh ! quand je dis "tout le monde", j'entends "les hommes", les hommes du sexe masculin, pas vrai, hé ? Oh oui, parce que si on faisait rentrer les femmes à la caserne, eh ben, elles foutraient tout en l'air, pas vrai ? Ah ! c'est vrai, maintenant on est heureux, on a comme copains des concierges, des huissiers, des vidangeurs, oui, madame, et même des députés. Moi, j'en ai un comme camarade de lit. Ah ! vous parlez d'un rigolo, celui-là ! oui, seulement, il s'embête parce qu'il est pas à la chambre. Alors, pour lui faire plaisir, on fait la chambre des députés avec lui. Ah ! on se fout les polochons par la gueule, on s'appelle cochon, vendu, salaud, on retourne les paquetages, ah ! vous parlez qu'on rigole ! ah ! ah !… Ah ! mon cochon, ce qu'on rigole ! Tenez, l'autre jour, il est arrivé une bien bonne, on était au réfectoire en train de manger des saucisses au chou, oui, même que le cuisinier s'avait trompé, au lieu de fumer les saucisses, il avait fumé les choux, on aurait cru qu'on mangeait des Choubersky, même qu'on avait dit au ministre de l'agriculture : Dis donc, mon vieux Ruau, t'es peut-être bien calé sur les bestiaux, mais pour les légumes, tu la perds, tu sais. Alors on était bien en train de manger les choux, tout d'un coup on entend : À vos rangs, fixe ! on se retourne et qu'est-ce qu'on voit rentrer ? le colonel, le commandant, le capitaine, toute la sainte famille, quoi ! avec un monsieur avec un chapeau haute forme et une serviette sous le bras. C'était monsieur Chéron qui venait pour la vérification de la viande fraîche. Alors, il s'approche de moi et il me fait comme ça : Dites donc, mon ami, est-ce que votre saucisse est avariée ? - S'il vous plaît ? - Je vous demande si votre saucisse est avariée ! - Ah ! ah !... Ah ! vous parlez que j'en bavais du vermicelle, moi ! Ça vous fait rigoler, madame ? Eh ben, je voudrais bien vous voir en train de manger une saucisse et que monsieur Chéron vienne vous dire : Est-ce que votre saucisse est avariée ? Eh ben, vous savez, je savais pas quoi lui répondre. Alors il me fit comme ça : Voyons, mon ami, ne vous décontenancenez-vous pas, voyons, comment est-elle ? Eh ben, j'y dis, elle est raide, celle-là, monsieur l' ministre. Ah ! ah !


Montrer l'autre transfert audio du même document, ou montrer la face associée

Permalien : http://www.phonobase.org/5448.html

  Recherche tout champRecherche avancéeNouvelle recherche Page d'accueil